FULL NOVELXO Chapter 79
Chapitre 79
Hugo voulait saisir sa main, mais Clément a facilement esquivé son coup. Le dernier a ensuite saisi le
poignet du premier du revers de la main et l’a secoué doucement en ricanant:
– Quoi, tu as récupéré de la blessure à la main ? Tu n’as rien appris des leçons du passé ?
Hugo a immédiatement senti une énorme force le frapper et a fait deux pas en arrière sans conscience,
surpris et fâché, en se disant:
« Ce gamin est fort! »
Sachant que Clément était plus fort que lui, Hugo a dit calmement:
– Merde, espèce de déchet, attends que je demande au directeur de te mettre dehors ! Sur ce, Hugo a
tourné la tête vers le directeur sur le côté et lui a fait un signe.
Très vite, un homme d’âge moyen en costume est venu, suivi de deux gardes de sécurité.
L’homme avait l’air extraordinaire. Il a dit à Hugo avec un sourire :
– M. Hugo, je peux vous aider ?
– Directeur, vérifiez les invitations de ces deux personnes, a dit Hugo avec dédain en désignant du doigt
Clément et Kyan, je soupçonne que leurs invitations sont fausses.
Pour respecter la confidentialité de l’invité, la Boutique des trésors mettait un code au lieu de son nom
sur l’invitation.
En entrant le code dans une application mobile, on pouvait voir le nom de l’invité.
En voyant que Hugo était si noble, le directeur a compris qu’il était issu d’une famille riche. Mais quand il
a vu Clément portant des vêtements bon marché, il lui a dit avec un sourire méprisant:
– S’il vous plaît, montrez-moi votre invitation. Je vais la vérifier.
Bien qu’il soit poli, ses yeux l’ont trahi, où flamboyait le mépris,
Comme Clément portait des vêtements bon marché, il ne ressemblait pas à quelqu’un qui pourrait entrer
dans la Boutique des trésors.
Clément a vu le mépris dans les yeux du directeur. Il a dit d’une voix froide, énervé:
– Et si je refuse? Le directeur a toussé sèchement, les yeux froids. Il a demandé en continuant : –
Oserais-je vous demander quelle famille de la Cité J vous venez? Avant que Clément n’ait pu lui
répondre, Hugo a dit :
– Nous sommes de la même famille. Ah non, il est un gendre adopté de ma famille. Il n’est pas qualifié
d’être membre des Xavier. Il n’est qu’un chien pour nous !
En entendant les mots «gendre adopté », le directeur a à peu près deviné l’identité de Clément, en se
disant: « Personne de statut haut à la Cité J ne pourrait vivre dans la famille de sa femme ! » Le
directeur a fait grise mine et a dit à Clément:
– Dites-moi, comment êtes-vous entré ?
Face à l’interrogation, Clément est devenu impatient, très déçu par la Boutique des trésors qui jouait de
son autorité en divisant ses invités en catégories distinctes.
Il a donc dit froidement:
– Bien sûr que je suis entré à pied.
Le directeur a cessé de le táter après s’être rendu compte de son statut inférieur. Il a dit d’une voix froide
:
– Si vous ne suivez pas les règles ici et ne me montrez toujours pas votre invitation, je vais devoir vous
demander de partir.
Après avoir dit cela, il a fait un signe de la main. Deux gardes de sécurité se sont immédiatement
avancés et ont entouré Clément avec des regards féroces
En voyant cette scène, Kyan a commencé à paniquer. Il craignait qu’il y ait vraiment des problèmes avec
leurs Invitations, alors il s’est empressé de dire à Clément:
– Clément, je pense que nous devrions éviter de causer des problèmes Dépêchons-nous de rentrer.
Clément a froncé les sourcils et lui a demandé avec une certaine surprise : – Papa, tu ne participes pas
à la vente aux enchères ? Kyan a secoué la tête en disant:
– Non, ce genre d’endroit n’est pas pour nous. Si nous sommes virés d’ici plus tard, ce sera honteux…
En voyant que son beau-père avait pria sa décision, Clément a hoché la tête, sans rien dlre de plus, et
s’est dirigé vers l’extérieur avec lui, en pensant :
« Ce n’est qu’une vente aux enchères. Je m’en fous. Puisque papa n’a plus envie d’y participer, ce n’est
pas la peine de gaspiller ma salive avec les gens ici. Si Gisèle me demande pourquoi partir, je vais lui
répondre en disant que je ne suis sans doute pas qualifié pour participer aux événements des Poincaré.
»
Puis, il s’est retourné pour partir avec son beau-père.
Hugo a éclaté de rire derrière eux en disant:
– Deux perdants ? Vous êtes effrayés ? Vous vous sentez faibles ? Comment osez-vous vous mêler à la
vente aux enchères des Poincaré ? Vous cherchez la mort!
Clément l’a ignoré et est parti. Cependant, un tumulte s’est élevé dans la foule. La foule s’est séparée en
deux et un passage s’est formé au milieu. Un homme et une femme se dirigeaient vers la salle. La
femme portait une robe de soirée noire, le visage beau et la silhouette délicate. Sous les lumières vives,
elle était belle et élégante, ainsi que sa tenue et son allure. Hugo s’est perdu dans sa beauté.
Gisèle est entrée et a promené ses regards dans la salle. En voyant les deux places dans la section VIP
au premier rang étaient toujours vides, elle a dit :
– Mes deux invités les plus importants ne sont pas encore venus ? Alex Desmarais, patron de cette
boutique a jeté un coup d’oeil aux informations sur les invités et a dit en fonçant les sourcils :
– Mlle Gisèle, selon des informations de l’entrée, leurs codes ont été scannés, ce qui prouve qu’ils sont
déjà arrivés. Mais on ne sait pas où ils sont pour le moment.
Après avoir dit cela, Alex a immédiatement dit à un subordonné sur le côté : – Fais venir le directeur ici.
Très vite, le directeur est venu et a dit : – Comment je peux vous aider ? Alex lui a demandé en
désignant du doigt les deux places vides dans la section VIP: – Ces deux invités VIP ont déjà fait vérifier
leurs invitations, mais pourquoi ne sont-ils pas à leurs places ? – Deux invités VIP ? Le directeur a tout
de suite pensé à deux hommes qu’il venait de mettre à la porte.
«Se pourrait-il que… Il ne devrait pas être… S’ils ont les invitations et sont des invités VIP, pourquoi ils
ne voulaient pas me les montrer ? Serait-ce qu’ils étaient fâchés ? Oh, c’est fini… »
En voyant que le directeur était paniqué, Alex a demandé à l’un des gardes de sécurité :
– Vous, dites-moi ce qui s’est passé. Le garde de sécurité n’a pas osé cacher la vérité et a rapidement
raconté ce qui s’était passé à l’entrée. Après avoir entendu cela, Gisèle a jeté un coup d’oeil à Alex,
fronçant les sourcils, et a dit :
– M. Alex, je vais d’abord aller chercher M. Clément. Vous vous occupez des affaires ici. J’espère que
vous pourrez me donner un résultat satisfaisant.
Alex a hoché la tête sans cesse. Quand Gisèle est partie, Alex a dit en fixant le directeur, avec un visage
sombre: – Tu veux mourir ? Tu oses même offenser les invités de Mlle Gisèle ? Le directeur est tombé à
genoux, tremblant de partout. Il a crié en pointant du doigt Hugo qui n’était pas loin : – M. Alex, je ne l’ai
pas fait exprés. C’est à cause de ce salaud ! Alex a donné un violent coup de pied à son visage qui l’a
fait tomber par terre, puis a maudit :
– Je veux voir comment tu peux encore regarder les autres de haut. Va-t’en, tout de suite ! Ne me laisse
plus le voir ! Selon le contrat de travail, lu payeras pour tous les dommages causés aujourd’hui. Un
centime de moins, je te tueral !
-M Alex, épargnez-moi!
Le directeur était effrayé. Ce n’était pas une petite perte. Toute sa fortune familiale ne suffirait pas pour la
compenser.
– L’avocat te dira combien tu devras payer, a dit Alex froidement. Le directeur a eu l’impression de
tourner sur lui-même. Il s’est mis à genoux et n’a cessé de faire des courbettes pour présenter ses
excuses
Dégouté, Alex l’a repoussé d’un coup de pied, puis a fait un clin d’oell à ses gardes de sécurité et leur a
dit à voix basse : – Sortez-le d’ici et cassez-tul les jambes ! Quel aveugle !
Alex était dans les affaires depuis de nombreuses années. Pour avoir une place, Il n’était naturellement
pas quelqu’un de gentil. Même s’il ne manifestait pas sa colère au public, i ne laisserait jamais partir les
personnes qui l’ont offense.
– M. Alex, je sais que c’est ma faute. S’il vous plaît, pardonnez-moi… a mendié le directeur pour sa vie,
effrayé.
Deux gardes de sécurité se sont précipités sur lui et l’ont traîné de force.
C’était le tour de Hugo. Alex a dit aux subordonnés autour de lui:
– Amenez-moi Hugo.
Hugo avait toujours l’air triomphant. Il était encore plus ravi quand il a entendu que le patron de la
Boutique des trésors voulait le voir.
Tout le monde savait que le patron de la Boutique de trésors était issu de l’une des familles les plus
connectées de la Cité J. Si l’on pouvait gagner sa faveur, on aurait naturellement beaucoup d’avantages.
Arrivé devant Alex, Hugo l’a flatté en disant: – Bonjour, M. Alex, enchanté. J’ai beaucoup entendu parler
de vous. Vous êtes tellement noble et vous méritez votre réputation !
Alex était tellement fâché qu’il ait serré les dents et donné un coup de pied à Hugo pour l’écarter de
quelques mètres, en maudissant:
– Bon sang, Hugo! Comment oses-tu offenser les invités de Mlle Gisèle ? Tu es suicidaire !